Le blog qui manquait au petit monde du Trail, humour en dessins de nos actualités et de nos champions :
DES BOSSES ET DES BULLES, le Trail running en dessin : Original, drôle et tellement vrai!!!
Bravo à l'auteur
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Le Grand Raid 73, ça c'est fait, place à la récupération et à un petit debriefing personnel :
Je ne savais pas trop où j'en étais, j'ai vu!!! Difficile de comparer les 2 dernières éditions car le parcours a changé et la température n'était pas la même, mais au final je termine à la même place : 15ème, sauf que j'ai mis 50 minutes de plus. Mais d'après l'alti de Dédé, on a fait 5800m de D+ et non 5200m?
Au niveau de la course, je suis parti un shouilla trop vite, mais j'ai vite régulé cette vitesse pour prendre mon rythme de croisière peu avant la Thuile. Le métronome, comme m'a appelé Dédé me convient bien, prendre et garder le même rythme, le plus longtemps possible, comme les petits lapins roses avec de piles dans le dos....
Les descentes : Cela reste mon point fort car j'ai pu toutes les courir ce qui est déjà très bien, surtout lorsqu'on frise les 6000 négatifs. J'ai pensé à la citation de Seb Chaigneau :" sur le court, les descentes servent à gagner, sur le long, elles servent à se refaire la santé, à ne pas s'user, ...", En effet, pour une fois, je n'ai pas envoyé comme une balle dès la 1ère descente, ce qui m'a permis d'avoir des cannes jusqu'au bout et notamment les 1200m négatifs de fin de course.
Les côtes : Pas mal au début, moyen au milieu, pas terrible à la fin.... Pas trop de jambes à ce niveau et peu d'énergie sur ces portions montantes!!!
L'alimentation : Moyen.... Au niveau boisson, j'ai alterné Nutraperf de Nutratlétic, eau avec Adiaril, eau pétillante (bonheur), eau mélangée au coca (bof). En nourriture, pas de gels, quelques barres, raisins secs, pas grand chose en fait, pas assez!!!
La tenue : X-Bionic, corsaire et Tshirt blanc, rien à dire, parfait!
Sac Camelbak : impeccable
Les chaussures : les dernières Supernova Riot, excellentes : pas une ampoule, pas une irritation. Je les trouve un peu mois accrocheuses que la version 2011, mais un super amorti, un bon maintien, du confort!!! IDEALES pour moi.
Et après?
Les réactions du corps sont intéressantes à étudier. Alors qu'on prenait notre repas d'après course avec Guitoune et Sam, on s'est mis tous les 3 à transpirer comme si le fait de manger réactivait certains organes?
La nuit qui a suivi ne fût pas terrible, genre t'es super naze, mais peut-être trop et ça t'empêche de dormir. Sinon pas trop de séquelles musculaires, juste au niveau des muscles crampés durant la course.
Boire : J'ai bu environ 8/9 litres en presque 12 heures et cela n'a pas suffit à équilibrer la perte hydrique puisque ma balance annonce le lendemain - 2 kg. J'ai siroté toute la journée du dimanche pour faire pas grand chose en urine, comme quoi! la désydratation était bien là, tout comme le petit coup de chaud, car la brassouille d'après course et l'impossibilité de siroté une bibine sont mes symptômes du coup de chaud!
Sinon, rien, il y a du boulot encore avant le Dodo Trail et l'UTMB, mais ça rassure quand même ce genre de bambée!
Des belles photos à voir ici :
http://www.leschamoisdunivolet.com/article-gr73-photos-tete-de-course-105957830.html
Et maintenant CHAMPAGNE, l'estomac va mieux :
Arrosage du Manu aux Aillons, avec de la boisson Perf quitte à!!! Regardez bien la pointure des chaussures du Manu!! Incroyable: Il coure avec des Palmes...
Après avoir été pressé comme un citron pendant des heures lors des 11h58 passées sur le Grand Raid 73, il est temps de se requinquer et de désintoxiquer l'organisme. Moi, d'instinct, je me jetterais bien sur une bière! Mais là, non, rien ne passe vraiment : Brassé, nauséeux à cause des efforts et du soleil (presque les symptômes d'une gueule de bois).
La solution : C'est ma fée Clémentine, mon osthéopathe de Chambéry, qui me l'apporte en me proposant de prendre du jus de citron tous les matins pendant une bonne semaine : A jeun, du jus de citron pressé coupé à l'eau tiède ou 2 heures après un repas.
Pourquoi?
Car le citron est un régulateur dynamisant du foie. Donc après un trail ou le foie à joué au Yoyo : stock de glycogène épuisé, mais reboosté temporairement par l'apport de sucres lents et rapides, puis ré épuisé,.... L'apport de citron permet de réguler le foie fatigué!
Ensuite, après une course de type trail, le système digestif a pris un sacré coup par les efforts sportifs et également par les changements alimentaires (picorage, mélange d'aliments non stop). Le citron va alors stimuler des sécrétions digestives (gastriques, pancréatiques, hépathiques).
C'est également un détox, dépuratif : Il joue un rôle sur l'équilibre acide - base qui a été mis à mal pendant la course. Il permet alors d'éliminer l'acide lactique et accélère ainsi la récupération musculaire et la diminution de crampes.
Pour terminer, le citron est très riche en vitamine C, cela permet de remettre les réserves à flots après épuisement.
Je comprends mieux pourquoi les lendemains de soirées arrosées, ma maman tentait de me faire boire du citron chaud!!! Soit ça passait, soit... je trépassais, courant dans l'évier pour rejeter la substance guerisseuse (je crois que mon ancien chat s'en rappelle, lui qui dormait à côté de l'évier de la cuisine, je crois qu'il est encore accroché au plafond ... de peur).
Merci à Thibaud Cahez pour ces photos en action
Montée du Grand Colombier
Pas mal du tout.... Le paysage évidemment.....
Ah ce Grand Raid 73, quelle aventure!!! Je trouve, notamment cette année, qu'il porte bien son nom : Grand Raid! Quasiment aucun répit pour le trailer, des montées accidentées, des descentes techniques et parfois "droit dans pente"; nos corps sont chahutés tout au long du parcours. Et que dire de cette chaleur, venue ajouter une difficulté supplémentaire à la vadrouille savoyarde.
2h35 : Réveil, j'avale 2 tartines et quelques cuillères de riz cantonnais.
3h45 : Je retrouve la dream team du Val Gelon pour un covoiturage en direction de Cruet, village réputé pour son Vin et maintenant pour les Trails extrêmes.
5h00 : Départ pour la grande vadrouille au sein des Bauges, il fait 17°C, je sens que ça va pîquer!
La dream team, ok Sam à des petits yeux, mais c'est parce qu'il n'a rien dormi, quelle idée d'habiter au-dessus de la Vogue
A partir du pied de la Roche du Guet, le terrain est très accidenté jusqu'au lac de la Thuile. Quelle chaleur, il fait lourd, je transpire déjà bien "salé". Arnaud nous encourage une partie du chemin, puis,... aie aie , après 2h30 de course, je sens des crampes venir titiller mes mollets (Déjà???) : La crampounette. Il est vrai que je n'ai pas mis de chausettes montantes X-Socks, ou manchons. Est-ce lié? Ou est-ce la chaleur? Ou les 2? Guillaume Bernard qui a testé les 2 me confirme qu'avec, il réduit considérablement le risque. Sauf que là, on est à peine au 20ème km, qu'il en reste 53 et qu'il va falloir géré déjà ce souci.
Alors que nous courions à 3 avec Manu et Sam, en me retournant dans une descente, je ne vois plus mon Sam?? Je me dis qu'il a du faire une petite pause. Sauf que j'apprendrai à l'arrivée qu'il s'était fait une entorse, qu'il a tenu bon jusqu'au Col de la Cochette (après s'être tapé le Colombier) mais du renoncer car sa cheville se tordait sans arrêt. Je suis déçu pour toi mon Sam car tu étais en pleine forme, mais bon... ce sont les risques du métier comme on dit (snif) :
Sam, qui nous ramène un bel oeuf de pâques, le 26 mai, c'est plus la période!!!!
Après la Thuile, direction ce foutu Pic de Sauge! Alors c'est simple la Sauge, je ne l'a veux même plus dans mon assiette tellement cette montée est rude. 1000m de D+ en partant du hammeau de la Rongère, faut quasiment sortir le piolet, ça pique les mollets.... aie aie aie. Heureusement, je suis accompagné de Dédé, qui me donne du sporténine pour adoucir l'électrostimulation que m'inflige mes mollets. Avec Dédé, c'est simple, il me dépose dans les montées et je reviens sur lui dans les descentes. Un yoyo fort agréable avec un Dédé qui va nous sortir une magnifique course (12ème).
Après la Galoppe (on m'annonce 22ème), la Buffaz, direction les Aillons par une partie plane un peu longuette mais qui me fait du bien. Un des rares moment de répit durant lequel je fais tourner les gambettes. Objectif atteint, j'arrive aux Aillons (40ème km) plutôt pas trop mal même si je pense que je commence à être bien déshydraté. Mais les encouragements des supportrices du Val Gelon me donnent le peps, j'en oublie d'ailleurs mes bâtons.
Avec Dédé, aux Aillons, quand 2 raiders se retrouvent sur un trail....
Bon : Reste plus que 33 km avec ce Grand Colombier et ses 1200m de D+ à avaler! je pars avant Didier, il me rejoint dans la première partie de la montée puis reste avec moi!!! On papotte mais je sens que je commence à avoir de plus en plus de mal dans l'ascension, de moins en moins de jus! Par contre au niveau des descentes, je sens que mes cannes ont du répondant. Je décide donc de garder ce rythme de métronome, pour garder de la lucidité et un minimum de jus pour courir en descente. Je dis à Dédé, de toute manière, faut que tu partes, que tu me déposes car la course se termine par 10km de descente! 5 minutes après, voilà mon Dédé qui me met une belle cartouche me déposant comme un sac! C'était prévisible mais il m'a mis une sacré dose. Peut-être les effets de son lavage de caboche dans un bac à eau pour vache pleine de mousse?
Le reste de la montée ne fût pas terrible, je garde mon petit rythme de croisière car de toute manière, je peux pas aller plus vite, je suis essouflé, je pense que je suis à la limite du coup de chaud. Dès que je suis à l'ombre, je soulève ma casquette pour ventiler et refroidir la caboche, et je mouille ma tête dans toutes les rivières... Enfin le sommet, ouf!!! Je vais pouvoir tester la descente, tout doux au début, je vois que j'arrive à dérouler, même si les jambes piquent (les crampes gagnent les quadris). Mais le retour au Col de la Cochette se passe pas trop mal, tout comme le reste de la descente en direction de la Fuly où je peux enfin m'abreuver comme une bête. Je n'avais plus d'eau en haut du Colombier, faut parfois porter sa croix un moment, avant de retrouver le bonheur de pouvoir remettre de l'eau dans ce corps asséché.
Je ne vais pas très vite, mais j'avance toujours et relance dans les descentes jusqu'à la montée au Mont Pelat où la famille de Jérôme (qui terminera avec succès son 1er grand trail) m'encourage, quel bonheur! Je suis en hypo je pense, Jean-Claude Banfy qui coach des coureurs sur la course m'aide à choisir nourriture et boisson pour l'ultime assaut, le Mont Charvet.
Le Grand Colombier .... A oui, faut aller là-bas!!!
Je suis classé 16ème, mais je me fais reprendre par 2 coureurs dont David Uliana qui s'est bien refait la cerise malgré un coup de moins bien spectaculaire quelques heures avant dans la montée de la Sauge. J'arrive donc au sommet du Mont Charvet en 18ème position. Reste un dizaine de km, et après avoir utilisé mon cerveau pour alimenter le mental, je décide de le déconnecter pour, ma fois, tenter de dérouler à nouveau mes gambettes meurties dans cette descente bien exigeante. David me disait en me dépassant que j'allais revenir, je n'y croyais pas trop j'avoue. Sur les 1ers km de la descente je ne vois personne, je continues quand même sur ma lancée car quitte à avoir mal aux jambes, autant que ça ne dure pas trop longtemps. C'est au ravito des 5 derniers km que je reviens sur David et oh surprise, 2 autres coureurs. Comme quoi!!!! Je reste sur ma lancée jusqu'à Cruet, voyant à 200 mètres un autre trailer mais ne pouvant le rejoindre! Pas grave! Le compte est bon : 15ème comme l'année dernière, mais dur dur dans ces conditions : 12h de chaleur, Wow, il n'y a qu'à voir le tshirt de ce coureur salé pour "imager" ce que l'on a ressenti sur cette bambée :
Comme de nombreux participants, l'heure qui a suivi l'arrivée a été délicate : brassé, pas faim, déshydraté et quelques symptômes du coup de chaleur. Du coup je décide d'aller me réhydrater par l'extérieur en prenant une douche tiède qui me fait le plus grand bien, puis je laisse la faim revenir avant de manger, par contre je bois beaucoup d'eau pétillante, la bibine ne pouvant pas passer.
En écrivant ces quelques lignes, je repense à Guilaume Bernard (brillant 5ème) qui a pensé à moi pendant le parcours, se demandant comment on pouvait participer à cette course quasiment chaque année! Je ne vous cache pas que moi aussi, je me suis demandé comment je pouvais récidiver... L'oubli sans doute que ça faisait aussi mal!! Parce qu'il envoit ce Grand Raid 73, une préparation idéale pour ceux qui envisageraient la Diagonale des Fous. Une organisation adorable, conviaviale, ils sont au top à Cruet!
Mais voilà, un nouvel OPINEL gravé, il mérite preque sa place auprès des trophées des grandes croisades :
Mais l'envie de couper des rondelles de Saucisson avec sera plus forte, autant qu'ils soit utile se trophée, sauf que je me taperai 2 rondelles de sauce au lieu d'une, en mémoire à toute l'énergie dépensée ;-).
Bref, moi je dis que les descentes m'ont une nouvelle permis d'accéder à un résultat correct, et mon rythme de course, apparement d'une belle régularité y a été pour beaucoup!!! Comme quoi!!! Tout arrive.... L'expérience surement!
Ca y est! On est à la la veille de la course... Les dossards sont retirés, je dis "les" car j'ai récupéré tous les dossards des coureurs du Val Gelon, c'est à dire 6! Et maintenant? Que faire?
Préparer ses affaires de course, ça c'est fait :
Nounours portera un tshirt x-bionic "fennec", fait pour les fortes chaleurs et les courses sous le soleil. Quitte à sentir le fauve, pourquoi pas le Fennec. Il portera aussi le corsair, "la base", le "top du top", un gainage partiel parfait. bâtons Black Diamond : Si ils ont résisté à l'argentine, ils peuvent résister à tout! Et le super sac Camelbak, light Ultra Lr Vest...
Manger! Riz cantonnais, parfait! Depuis un certain temps je préfère manger du riz que des pâtes (trop riches en gluten). Je digère très bien le riz et moins bien les pastas il me semble. Alors demain au petit dej, je pense que je vais me retaper du riz cantonnais (à 2h du matin, ça va faire drôle, mais est-ce normal de déjeuner à 2h? Non! Alors du coup, vu qu'à la base, ce n'est pas normal, et bien je déjeunerai bizarement!!
Et maintenant? Faut se détendre, à oui.... Voir des images positives, qui relaxent. Il y a ça :
Ben oui, je ne vais pas me taper des paysages de montagne ce soir alors que je vais devoir me farcir 5200m de Déniv+ demain???
Ou ça :
Ah oui........ Mieux!! Ca marche bien même!!!!
Et maintenant???? Ben j'sais pas!!! Allez..... Faut bien se changer les idées, et puis ce n'est que du sport!!!
Départ du Grand Raid 73 : 5h du matin!!!!! Pensez-à moi quand vous petit déjeunerez le matin, déjeunerez le midi, goûterez,...... si tout va bien j'arrive entre le goûter et l'apéro!!
Depuis l'Argentine (fin février) je n'ai participé à aucune course! J'ai repris les chemins de l'entraînement avec des petits hauts et beaucoup de bas : Effets collatéraux d'après raid ultra non stop. Mais il arrive, mon trail fétiche, limite petit ultra trail avec ses 73km et 5200m de D+, Le GRAND RAID 73 dans le massif des Bauges.
Je l'ai couru dans tous les états et sous toutes les conditions climatiques. A chaque Grand raid 73 son lot de rencontre, d'aventure, de moments de solitude, de bonheur de "finir" et remporter un nouvel opinel finisher.
Cette année nous seront nombreux à venir représenter le Val Gelon, notre petit paradis! Mais que va me réserver cette nouvelle édition? No lo so, je pars un peu dans l'inconnue j'avoue : Intéressant! C'est bien aussi de na pas connaître l'histoire du film, avant de l'avoir vu! Alors surprise....
"Etre finisher d'un trail au long cours, est bien une performance de haut niveau,...", Endurance mag
Je vais me contenter de cette phrase introductive d'un article d'Endurance Trail Mag et surtout me faire plaisir pour ramener un nouveau coupe saucisson à la maison.... C'est qu'il a de la valeur cet opinel!!! Quand même! Réponse samedi (départ 5h du matin, arrivée.....)
Les arsouilles, aujourd'hui on va au cirque! Meije : "Waou, on va au cirque trop bien, il y aura des clowns?"! Alors comment dire? Ce n'est pas le même cirque ma petite fillotte! Cette lanque française, pfff, toujours compliquée! C'est comme avec le mot mer, mère, maire... En plus en ce moment, je fais réaliser des travaux de piste cyclable le long d'un ruissseau qui s'appelle La mère,... Alors j'explique aux arsouilles : papa fait construire une piste cyclable au bord de La Mère! "La Mer? Mais c'est super loin papa...." Bref je m'égare.... C'est presque du Raymond Devos, je comprends mieux pourquoi il joueait avec les mots de la langue française comme ça! Mais j'arrête là, car qui connaît Raymond Devos de nos jours!!! On va me faire le coup de la télé en noir et blanc encore!!!
Du coup, direction le Cirque d'Archiane, en direction de Mené et son Col (fermé pour cause d'éboulements d'ailleurs) pour une randonnée en famille au coeur d'un véritable paradis! Le cirque d'Archiane, c'est ça :
GEANT! Une pure merveille! Un sentier entrecoupé de panneaux d'informations (pour les arsouilles c'est ludique) d'environ +300m de D+ pour une durée de 2h30 / 3h. Des panoramas à couper le souffle :
Un vrai bonheur, on en profite du peu de monde à cette période, car j'imagine que ce spot doit être blindé l'été. Les arsouilles marchent bien, on fait des pauses et parfois, on tombe sur un "fauve" local :
Une salamandre
Bref, comme dirait une "série télévisée à la mode", une randonnée familiale qui a contenté petits et grands. Pas difficile avec ce genre d'image :
De Die, je ne connaissais que la Clairette, évidemment, moi qui goutte à peu près toutes les boissons hydratantes, 'heu! Hydratantes, je ne suis pas sûr!!). Mais après avoir passé quelques jours sur une des faces cachées du Vercors drômois, je suis "fan"!
Fan déjà du nom du camping : Camping Le Glandasse! Glandasse comme le nom du massif montagneux et non comme "Glander"! Par contre la première nuité fût glaciale!
Moi qui faisais confiance à mon duvet en plume d'oie light comme l'air, donné pour +4°C, et bien je pense que depuis 2004 (datre de l'achat) il a été bien déplûmé... Parce qu'en pleine nuit, j'ai du mettre le Jean et une 2ème polaire.. Brrr!!!! Du coup le lendemain, c'était petit dej au soleil au bord de la Drôme.
On a profité du site pour faire 13km de canoë en famille de Die au beau village du Pontaix! Le directeur du camping récupère les canoës à l'arrivée, c'est le top et La Drôme, en cette saison, ça bouge quand même! Les arsouilles étaient ravis, "comme dans un manège"! Bon ok, l'eau était un peu fraîche, on restait comme ça dans la thématique "froide"! Puis visite du village du Pontaix avec comme objectif les Tours en ruine dominant la rivière. Reste plus qu'à rentrer au camping : 2 heures de footing à travers les montagnes... Magnifique!
Le Pontaix
Il était temps! Florian Racinet, membre du team X-Bionic France et mon compagnon de raid aventure vient de créer son bloggy. Bienvenue à toi et fais nous vivre de belles aventures trailer volant. On se revoit pour le RAID URBAIN DE SAINT PRIEST!!!
infos : http://www.loloraidoutdoor.com/article-10683440.html
BLOG FLORIAN : http://floracinet.over-blog.com/