3 moments distincts de la journées, 3 effets différents :
Si le sportif consomme une pâtisserie à 11h (sans avoir fait d'effort physique depuis 24h), les glucides ingérés vont rapidement élever sa glycémie. Cette élévation induit une sécrétion massive d'insuline, permettant la mise en réserve des glucides sous forme de graisse. Bilans : il prend du poids et fatigue son pancréas.
La même patisserie consommée à la fin d'un copieux repas n'aura pas du tout le même impact sur la glycémie, car les sucres rapides seront dilués avec les autres aliments. Il y a donc moins de remords à avoir si vous craquez à ce moment-là.
Enfin, s'il mange la petite douceur en rentrant de 2 heures d'entraînement intensif, ses réserves énergétiques épuisées, le contexte est tel que les glucides ingérés vont entièrement servir à reconstitution des réserves de glycogène, ce qui permettra d'optimiser sa récupération.
Article vu dans Jogging International du mois de février