Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Loloraidoutdoor

Loloraidoutdoor

Aventures swimrun ultra trail Norseman ötillö marathon des sables Outdoor sport outdoor triathon

Publié le par lo
Publié dans : #loloraidoutdoor
Et oui, 8h du mat, toute la famille prend le petit dej, et "pan","pan", un triste bruit nous rappel qu'aujourd'hui, tout est permis dans la nature, même celle de tirer à balles réelles sur toute faune vivante. Alors c'est reparti, ouverture officielle de la chasse, autorisation de se ballader avec une arme à feu et de tirer sur un lapin ou sanglier en toute liberté... Ah la liberté, la liberté pour nous maintenant de courir avec un chasuble fluorescent (on ne sait jamais, on pourrai encore me prendre pour un canaris géant), la liberté pour notre petite famille de croiser sur les chemins ces hommes en vert caqui, muni d'une carabine alors qu'on ira ramasser quelques chataignes. Le stress que suscite ces rencontres au détour d'un chemin, d'une sente. Non Erwan, nous ne partirons pas à l'aventure à travers la fôret, car c'est dangereux en ce moment (quand la liberté des chasseurs entrave du coup la notre). Il faut pourtant "respecter" tout le monde, tous les "us" et "coutumes". En effet, je respecte la plupart des gens, je sais qu'il existe des chasseurs intelligents, mais j'ai tout simplement peur, oui, peur de cette activité : peur pour moi et pour mes arsouilles, peur de la balle perdue,peur de ces regards parfois noirs lancéspar le trappeur que l'on dérange, peur du chien qui cherche et sent la proie, peur de cette ambiance électrique qui règne dans nos belles montagnes. Alors oui, aujourd'hui, je suis triste car c'est l'ouverture de la chasse. Je suis peut-être seul dans cet état, mais c'est comme ça. Et que dire à Erwan, lorsqu'il me demande :
"Ils font quoi les môssiers"?
"Ils chassent mon lapin"
"C'est quoi la chasse papa?"
"Ce sont des gens qui se promènent dans la forêt et avec leurs fusils, ils tuent des animaux"
"C'est pas bien de tuer les animaux, ils sont méchants, et pourquoi ils font ça?"
Pourquoi, pourquoi, pourquoi,......................... "franchement, je ne sais pas mon lapin"

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #loloraidoutdoor
DSC03131.JPGLa petite sirène et le "petit Michalak" comme l'appelle Tibo, se sont éclatés comme des fous à la playa.
DSC03139.JPG3 jours de pleins vacances à sixfours les plages. J'en ai DSC03172.JPGprofité reprendre l'entraînement en douceur, 2 footings le long des sentiers du littoral, superbe.
Sur le retour, un arrêt au chateau de Mornas, celui qui domine l'autoroute vers Orange. Très sympa, des animations rigolotes avec des chevaliers genre les visiteurs.... Très bien
DSC03163.JPG

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #loloraidoutdoor
Mais avant de se replonger dans l'entraînement, les raids, les trails, direction Six-fours-les-plages pendant 4 jours.... Détente en famille, baignade, glaces,... Cool
La bise
Lolo

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #loloraidoutdoor
Un des meilleurs palmarès de l'UTMB, Guillaume Millet répondra à quelques questions eu sujet de son UTMB 2007, très prochainement, si vous avez des questions mettez les dans les commentairesn il se fera une joie d'y répondre

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #loloraidoutdoor
8Munich07.JPG
Ils l'ont fait, incroyable, Jonathan Coeffic et sa bande se sont non seulement qualifiés pour lesJeux Olympiques, mais ils ont également terminé vice Champion du Monde à Munich. Alors qu'il était en stage au Lac d'Aiguebelette, Jo (3ème en partant de la gauche) était venu voir sa filleule, notre petite Meije, avant de terminer sa préparation à Bellecin. Et bien elle est sacrément fier de toi, .... , quelle saison! Normalement, Jo sera présent au raid du Castor que notre équipe co-organise les 20 et 21 octobre prochain.

Un très grand bravo également au 4 sans PL, la bande à JC est également montée sur la 2ème marche du podium. Et bien JC, quel palmarès..... A un an des JO, l'aviron français se porte à merveille.

A bientôt pour arroser tout ça... 

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #Trails
2 tentatives pour l'UTMB et 2 échecs....
Autant dire que lorsque j'ai arrêté, il ne fallait pas me parler d'un 3ème essai. Mais voilà, avec les jours de repos, les interrogations, les doutes, bizarement, l'envie est revenue et l'idée de repartir pour un tour en 2008 est devenue une évidence. Alors, normalement oui, je tenterai à nouveau l'aventure l'année prochaine si j'arrive à m'inscrire....

J'en profite pour réponse à vos sympathiques "post" :
Merci Oliv' pour ton soutien et tes encouragements,
Laurent Tissot, à la la , quelle galère pour toi avec ton genou en forme d'oeuf de pâques... Dommage pour toi et je suis sur que tu seras à nouveau de la partie en 2008,
Caro, merci à toi qui galère avec ta blessure et qui vient nous soutenir sur place.. Requinque toi, il y a tant de trails et d'ultras à faire,
Merci Denis, et Alexis, pas de soucis pour la bonne humeur et l'envie,
Heureusement que tu "m'aimes" Sandrine, j'aurai été triste de décevoir mon idole,
Jim, fidel lieutenant, belle nuit étoilée en ta compagnie en effet, tu as été un chef, t'es vraiment un dur à cuire, respect et sincèrement un grand bravo pour ta course, 28ème, ...
Merci Pat, que 105 km.... mais à bientôt à la Rochette, j'espère...
Martine et Christian, trop sympas, du coup j'ai découvert votre blog et le nombreux podiums et victoire de Martine (3ème à la CCC) : Quel palmares.... Waouh
Alex.... de toute manière, rien à dire de plus, on a qu'à retenter l'aventure en 2008, 


Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #Trails
Le gros objectif perso de la saison s'achève de la plus décevante des manières puis que j'ai du stopper l'aventure au bout du 107ème km. Pourtant, tout était bien parti : Le départ fût soutenu mais contrôlé, j'ai laissé parti Yves Masson car son rythle était trop rapide pour moi (il terminera 16ème respect). Dès que je me suis retrouvé à côté de Karine Herry, mon but était de rester à son contact, soit légèrement devant, soit derrière. Jim et Pascalou reviennent sur moi, et c'est avec Jim (qui terminera 29ème,Super classe) que je poursuitsla route jusqu'à Courmayeur. Bilan, nous sommes passés de la place 175 à 61 à Courmayeur.
Bon rythme, et je me sentais pas mal à part des spasmes au niveau du ventre. En arrivant au 76ème km, je vois mon pote et coach de la course Thierry et je lui dis, c'st bizarre j'ai un gros "point" au niveau du foie. 15 minutes d'arrêt, je me change et j'ai du mal à manger les pasta italiennes. Sur la première partie de course, j'ai beaucoup bu et je m'alimentais régulièrement.
Je pars avec Gibaud et d'autres et la patate est à nouveau là, au bout de 400m de déniv + en montant Bertonne, "Pan" je me chope une sorte d'hypo foudroyante"?? Je ne comprend pas bien et me dis que ça va passer. jemange je bois mais ça ne passe pas du tout. Je passe Bertonne dans un état pas terrible et j'ai du mal à rejoindre Bonati où se trouve Mimi. Elle me dit "j'ai failli pas te reconnaître tellement tu as l'air déchiré" (mon visage devait faire ressortir ce que je ressentai au plus profond de moi). Plus de 2h30 que je suis dans cet état, je mange, je bois, je me pose 2 minutes, rien n'y fait. Descente sur Arnuva, moi qui descend relativement bien, j'ai du mal et l'envie de vomir est présente. Ravitaillement et direction le Col ferret : l'enfer total, les cuisses me brûlent mon coeur s'emballe, je transpire à flots et je rampe. Je bascule, j'ai mal au ventre et je n'arrive pas à courrir.
Je marche donc jusqu'à la Fouly. Thierry qui vient à ma rencontre me trouve pâle avec une mine défaite. Tant bien que mal, je rejoins le ravito en titubant. je m'assois, mes jambes ne me tiennent plus et ma tête tourne. Prise de tension à 10, 0,8gr de glycémie, repos obligatoire. Je n'arrive rien à avaler, j'ai l'impression que mon estomac est au niveau de ma gorge. Le médecin me donne un cachet à glisser sous la lange. Au bout de quelques minutes, enfin, je vomis..... entre 2 et 3 litres de liquides. Bilan, mes spasmes au ventre, la fatigue, et autres éléments ont bloqué le système digestif. Du coup, on estime à 6h, le temps que mon estomac n'a pas distribué nourriture et eau à mon corps : Hypoglycémie importante et déshydratation. Je me repose 1h, tension toujours à 10 et toujours nauséeux. Je bois 1/2 verre de thé sucré et me rendord 1h, ça va un peu mieux, les couleurs reviennent sur mon visage. 3h de repos avant de pouvoir enchainer 2 verres de thé sucré. 1/2h après je peux avaler un laitage. Je suis complètement crâmé, mal à la tête, les yeux vitreux (comme une grosse cuite). Bilan, pas raisonable de repartir, il reste encore 60km. Je prend la décision d'arrêter, seul, conforté par le staff médical et Thierry. L'auto destrcution ce n'est pas mon truc. 
Je suis bien évidemment très déçu,mais c'est comme ça, les aléas de la course extrême. L'Ultra c'est le gestion des défaillances, mais je n'ai pas pu gérer celle là....

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #Trails

10h10, dans une demi heure, un plat de pâtes, et direction Chamonix,

Pour suivre la course et les premiers en temps réel :

site http://www.ultratrailmb.com/accueil.php

Laurent Valette
Dossard 2306

3 pays en moins de 46h, ça c'est du voyage, allez, après je pars à la mer, parceque la montagne..... ça suffira pour cette année...

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #Trails
Cette semaine me rappelle la semaine qui précédait le marathon des sables de 2004, un mélange d'impatience, d'anxiété, d'envie, de peur, .... , un savoureux mélange de sensations diverses ressenties à l'aube d'une belle épopée.
Plus que 2 jours, avant de lâcher les fauves... Non, pas les fauves mais tous ces accros d'aventure, de défis, de sport outdoor nature. Relever le défi de tourner autour du toit de l'Europe en moins de 46h. Il n'y a plus qu'à....

L'ULTRA :

"L'Ultra, c'est aller chercher en soi des ressources que l'on ne soupçonnait pas"
"L'Ultra, c'est un peu de fierté et beaucoup d'humilité"
"Le Trail, c'est la gestion des défaillances"
"L'Ultra, c'est une course avec soi, face à soi et contre soi"
Autant de citations qui soulignent l'état d'esprit des ultra trailers 
DSC02990.JPG

Voir les commentaires

Publié le par lo
Publié dans : #Trails
'UTMB sur un plateau d'argent    
Écrit par Philippe Billard   
16-08-2007

Du caviar pour les amateurs de sport. L'édition 2007 de "The North Face Ultra-Trail du Mont-Blanc" sera composé, le 24 août prochain, d'un plateau de coureurs exceptionnel. Nous en faisons le tour pour vous, après inspection minutieuse de la liste des inscrits.

Dans la catégorie des ultra-trails de plus de 100 km, ne nombreux coureurs peuvent justifier d’excellentes performances, peu d’entre eux peuvent se targuer de performances de haut niveau. Les organisateurs de l’Ultra-Trail du Mont-Blanc peuvent se féliciter d’attirer ces derniers en nombre de plus en plus important chaque année. Nous vous proposons ici un petit tour d’horizon de ces ultra-trailers, parmi les meilleurs du monde, capables de courir sur des pentes à 30% et qui verront, eux, le lever du soleil à proximité du Grand Col Ferret, après une centaine de kilomètres de course.

Scott Jurek incontestable ?
Du papier à la réalité, il n’y a qu’un pas. Sur le papier, le grandissime favori de cette cinquième édition de « The North Face Ultra-Trail Tour du Mont-Blanc » (
UTMB) devrait être Scott Jurek. À ceux qui n’y croyaient pas trop, il répond en remportant et en battant le record de la Hardrock 100 mile Endurance Run, l’un des ultra-trails les plus difficiles au monde (lire l’encadré)… sur le papier. Dans le même temps, il bat le record de la course, qui tenait depuis 2001.

Depuis quelques années, il réussit tout ce qu’il tente : Western States (sept fois et record de la course), Badwater (deux fois de suite et record de la course), Spartathlon. À chaque fois, il s’agissait d’épreuves très roulantes, remportées tambour battant. Avec la Hardrock, Scott Jurek montre qu’il peut aussi s’imposer à une moyenne kilométrique inférieure à 7 km/h (sic). Il devra peut-être aller légèrement plus vite s’il veut s’imposer sur les 163 km et 8900 m de dénivelé positif de l’UTMB.

Des Américains à Chamonix
Loin d’être le seul favori, Scott Jurek prendra le départ de la course entouré d’un plateau de compatriotes impressionnant. Karl Meltzer, « monsieur Ultra 2006 » selon le classement annuel d’Ultrarunning Magazine. Quatre fois vainqueur de la Hardrock, il a remporté 40 des 80 ultras auxquels il a participé, et 16 cent miles victorieux sur 28 participations. Ceux qui pensent qu’un Américain va gagner cette année sont partagés entre ces deux coureurs. Moins depuis cette dernière édition de la Hardrock.

Hal Koerner, vainqueur de la dernière édition de la Western States, Dean Karnazes et Topher Gaylord complètent ce plateau étasunien. Ce dernier a certainement plusieurs avantages sur tous ses compatriotes : vivant en Italie et très impliqué dans l’organisation de l’UTMB, il en connaît parfaitement le tracé. Il l’a couru toutes les années (deuxième ex-æquo de la première édition) et sait donc gérer une course sans meneur d’allure.

L’avantage du terrain
Car nous mettons-là le doigt sur des critères qui pourraient faire la différence entre les « locaux » et les autres. Outre leurs qualités athlétiques comparables à celles de leurs homologues nord américains, le Français Vincent Delebarre (vainqueur en 2004), le Suisse Christophe Jaquerod (vainqueur en 2005), le Népalais de Genève Dawa Sherpa (vainqueur en 2003) ou encore l’Italien Marco Olmo (vainqueur en 2006) possèdent la « science » de l’ultra-trail à la française. Ils savent en effet parfaitement gérer leurs ravitaillements, connaissent chaque caillou du circuit, sur lequel ils ont pu s’entraîner encore et encore depuis des mois et surtout, ils ont l’habitude de courir sans meneur d’allure.

Le meneur d’allure est en effet l’une des grandes différences entre les ultra-trails européens et américains. Outre-Atlantique, il est autorisé de se faire accompagner par un coureur, qui se comporte comme un véritable assistant volant. Non seulement le meneur d’allure court à vos côtés (pas toute la course), mais il peut également porter votre ravitaillement, vous soutenir moralement… réfléchir à votre place. Autant dire que l’UTMB, avec ses ravitaillements réduits cette année, laissera une large place à la capacité des coureurs (de tous niveaux) à s’autogérer.

Les dames aussi
Les mêmes questions se posent chez les dames, avec une concurrence là aussi relativement élevée. Comme l’an dernier, Karine Herry devrait être en bonne place pour l’emporter mais cette fois, le conditionnel est de rigueur. La présence de Nikki Kimball pourrait contrarier ses plans. En effet, l’Américaine, véritable star de l’ultra chez elle, est arrivée deux heures avant la Française à la Western States, le 24 juin dernier, et deux heures, ce n’est pas rien. Mais là encore, le terrain, la gestion de course et le fait de jouer à domicile sont autant de facteurs à l’avantage de Karine Herry.

Les deux favorites devront tout de même composer avec d’autres coureuses aux jambes longues, telles qu’Alexandra Rousset et Marguerite Hoarau, deux lauréates du Grand Raid de La Réunion, ou encore Elizabeth Hawker. Celle là a remporté l’édition 2005 de l’UTMB et possèdera un atout indéniable dans les phases de relance puisqu’elle est championne du monde en titre de 100 km.

Outsiders et candidats exotiques
Cette année, vous l’aurez compris, l’UTMB mériterait plus que jamais le qualificatif de championnat du monde d’ultra-trail. Une dénomination officieuse, posée ici juste pour donner une idée au lecteur non averti de la densité de coureurs présente sur place.

Parmi les 2000 qui prendront le départ de Chamonix le vendredi 24 août 2007 à 18 h 30, vous trouverez également des outsiders. Les outsiders, ce sont des coureurs dont le talent n’est plus à démontrer et dont on se dit que dans un bon jour…

Surveillez donc de près ces quelques noms, qui, dans un « bon jour » pourraient très bien accrocher un podium, voire remporter l’épreuve. Pour eux, pas de pression autre que celle de gérer leur propre course au mieux de leurs capacités. Nous en oublierons certainement mais on peut citer : Serge Barthes, Samuel Bonaudo, Michel Cercueil, Sébastien Chaigneau, Antoine Guillon, Mark Hartell, Benoit Laval, Jens Lukas (4e en 2006) Guillaume Millet (une fois 4e et une fois 5e), Wilfrid Ouledi (La Réunion), Philippe Verdier…

D’autres, totalement inconnus chez nous et présentant des palmarès difficiles à évaluer, pourraient provoquer l’étonnement général. Ne soyez donc pas étonné de retrouver aux avant-postes le Norvégien Ole Petter Hjelle, membre de l’équipe nationale de marathon (2 h 20 mn 03 s), le Suisse Bernhard Hug, spécialiste de niveau mondial sur courses multisports, Daniel Keller, vice champion du monde de duathlon longue distance en 1997 et 1999 et vainqueur en couple du Gigathlon 2006 (épreuve multisports d’endurance).

Et derrière tout ce joli monde, des centaines de coureurs tenteront d’améliorer leurs temps, de terminer plus frais que les années précédentes, ou tout juste, de terminer l’UTMB ou le Courmayeur-Champex-Chamonix.

Voir les commentaires

Articles récents

Hébergé par Overblog